Après des études musicales marquées par l’obtention d’un Premier prix de virtuosité de clarinette et de divers prix, distinctions et récompenses, puis poursuivies à l’étranger dans plusieurs conservatoires, François Buhler délaisse après un an déjà la carrière de virtuose, trop restrictive à son goût, au profit des deux seules grandes et inusables passions qui valent la peine qu’on leur consacre sa vie, l’art et la connaissance.
Commencent alors de longues études conclues par une triple formation complète en théorie musicale, en lettres à l’université en Suisse et à l’étranger et en graphologie. Ses diplômes en poche, il enseigne les sept disciplines musicales dans lesquelles il s’est spécialisé tout en pratiquant divers métiers : traducteur (anglais, italien, espagnol, allemand, néerlandais et russe) pour des organisations internationales (essentiellement le Conseil de l’Europe et l’Assemblée parlementaire à Strasbourg) ; correcteur, relecteur et rewriter (pour l’Unité éditoriale du Conseil de l’Europe) ; graphologue privé ; professeur de français pour étudiants de langue étrangère ; conférencier international multilingue et finalement écrivain (essayiste).
Depuis septembre 2016 il est directeur de la collection Musicologie de la maison d’édition Connaissances et Savoirs à Paris dans laquelle il a publié son premier livre. Il compte à ce jour vingt-et-une publications.
Présences:
samedi 14 septembre
dimanche 15 septembre
Lundi 16 septembre
Né au siècle passé, un dimanche de Pâques, Olivier Chapuis triture et malaxe les mots pour en extraire un jus qu’il espère goûteux. Le désir d’écrire, il l’éprouve enfant déjà, lorsqu’il se met à écrire d’absurdes histoires de planètes inconnues peuplées d’êtres hybrides forcément hargneux. Plus tard, il se contente de la terre et de ses habitants, souvent hybrides et parfois hargneux, mais source intarissable d’inspiration.
Bibliographie:
Brèves de salon, éditions Montsalvens, 2023
Tartan, micro-roman, BSN Press, 2022
Balles neuves, roman, BSN Press, 2020
Les chaussettes en titane, micro-roman, BSN Press, 2019
Le chat, roman, L’Âge d’Homme, 2018
Fragments, recueil de nouvelles, Les Éditions de Londres, 2016
Nage Libre, roman, Encre Fraîche, 2016
Le Parc, roman, BSN Press, 2015
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Lundi 16 septembre
Copyright photo @Rromir Imami
Née à La Chaux de Fonds, elle suit une scolarité touristique entre graffiti poétiques et gribouillis à Besançon avant de la continuer à Strasbourg. Depuis l'enfance, elle invente des histoires et se met à les écrire dès l'acquisition de l'écriture.
Voyages entre littérature, histoire de l'Art, archéologie, égyptologie à l'Université des Sciences Humaines à Strasbourg et dessin, gravure, sculpture à l’École des Arts Décoratifs dans cette même ville.
Séjour helvétique à Neuchâtel, Académie Maximilien de Meuron , Technicum des Arts et Métiers de La Chaux de Fonds tout en jouant avec les mots, écriture de poésies, de nouvelles.
Rédige la biographie d'Albert Yersin pour l'ouvrage « l'oeuvre gravée ». Participe à l'exposition et au catalogue de la collection Claude Verdan.
Revient vivre en Franche-Comté.
Travaille avec un public en fin de droits pour la motivation à la recherche d'emploi, puis dans l’Éducation Nationale avec des élèves en grandes difficultés.
Poursuit son écriture, ses découpages, sa sculpture.
Livres :
« Voyage sur ordonnance », une envie de partager son expérience et d'expliquer le ressenti dans la traversée de la maladie.
« Un certain petit Chaperon Rouge », insiste sur l'intérêt de ne plus transmettre le fardeau des histoires familiales aux nouvelles générations.
« Quelques mots » égrainent des haïku.
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Lundi 16 septembre
Je vis dans la conviction qu’écrire est la seule chose que je sache faire. C’est certes un peu exagéré, je sais cuisiner des oeufs au plat ou mener un bateau à voile, mais les mots sont mon univers de prédilection. Dès l’enfance, ils m’ont servi à me protéger du monde et le décrivant mais aussi en le rêvant.
Adulte, j’ai été journaliste de presse écrite (quoi d’autre ?), puis la plume de divers hommes politiques genevois, avant de me lancer dans l'écriture romanesque. Le savoir-faire, l’usage des mots, la passion du mot juste, de l’image qui touche, qui fait sourire ou surprend, tout cela je l’avais. Il me manquait l’accès à mon imaginaire, nourri en fait des étapes de ma vie.
Une maladie m’a ouvert cet accès à 50 ans passés, et, depuis, je vis le bonheur de recréer des univers sur le papier et de faire vivre des personnages qui me ressemblent plus que je ne l’imagine en les créant. Et ne pensez pas que cela en fait des clones : au contraire, c’est moi qui me diversifie en leur donnant vie.
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Lundi 16 septembre
Laurent Demarta est un architecte suisse né en 1976. Dès l’adolescence, il participe à des chantiers d’été où il malaxe du béton, pose des parpaings et pilote des grues. Ses études, qu’il juge éloignées des réalités, l’encouragent à poursuivre sa quête de concret en cherchant une voie plus proche du terrain. Diplômé en 2000 (sous la direction de Thierry Paquot et Guy Rottier), il complète sa formation par une spécialisation en ingénierie bois (Épinal, 2001) et une autre en «développement» (Lausanne et Burkina Faso, 2003). Comment construire avec les gens ? Pendant douze ans (2000-2012), Laurent Demarta rassemble des éléments de réponse. Il part en missions humanitaires à travers le monde (Panamá, Afghanistan, Pakistan…), et s’établit plusieurs années au Libéria et au Tadjikistan. Il devient formateur, puis formateur de formateurs, et enfin rédacteur de manuels de formation de formateurs. Une mission en Haïti le décide enfin à rentrer en Suisse pour ouvrir son bureau d’architecture et revenir à la pratique du métier. Engagé dans la vie artistique, associative et politique de son village, il donne également des cours et des conférences, et forme des apprentis. Lecteur boulimique et passionné par l’écriture, il rejoint le comité de rédaction du journal Moins ! (2015-2018), et écrit pour Urbanisme, Hermès, La Décroissance, Topophile…
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lundi 16 septembre
Les questions de justice sociale occupent une place de choix dans les six recueils de nouvelles et cinq romans que Sabine Dormond a publié à ce jour chez différents éditeurs suisses, belges et français, dont BSN Press, Luce Wilquin et Mplus. Désireuse de réunir des gens qui partagent la même passion, Sabine Dormond anime aussi des ateliers d’écriture et des tables rondes. Elle a présidé pendant 6 ans l’Association vaudoise des écrivains et co-fondé en janvier 2011 un cercle littéraire appelé Les Dissidents de la pleine lune. Elle rédige par ailleurs des chroniques littéraires pour le journal en ligne "Bon pour la tête" et pour le" Riviera-Chablais". Plusieurs de ses nouvelles ont été primées à des concours.
Site personnel: https://www.recits.ch
Retrouvez sa bibliographie sur le site sous l'onglet "Livres"
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dimanche 15 septembre
Lundi 16 septembre
Copyright photo @Rromir Imami
Alors je suis partie… J'ai voyagé, j'ai écrit…
Voyager, écrire : mélange de solitude et de rencontres, de réflexions et d'interrogations, ingérence dans les mystères du monde et les aléas de la vie… De ma vie, avec tous les inconnus qu'elle recèle et qu'il reste à découvrir: soulever un pan du voile, des voiles innombrables et indéchiffrables.
Si mes poèmes s'écrivent sur la route, en chemin, en mouvement, au soleil ou sous la pluie ou la neige, instantanés d'un lieu et d'un moment, les textes attendent des périodes plus calmes pour émerger et se mélanger à d'autres souvenirs, parfois des années plus tard, et travestir ainsi le réel qui a perdu sa réalité au fil et au filtre du temps. Mais la puissance des événements demeure malgré les égarements et les soubresauts de la mémoire.
Et s'il fallait préciser la date ou l'époque de ces événements, je dirais en souriant que "c'était il y a longtemps, quand les hippies s'en allaient fureter en Orient ou ailleurs, quand l'auto-stop était un moyen simple et naturel de se déplacer, donc… dans quelques vies antérieures déjà"!
Et si autrefois j'étais partie me cacher aux quatre coins du monde, je me balade maintenant, toujours attentive et vigilante, entre les pages des livres.
Et si les mots transcendaient, sans se perdre dans l'illusoire et l'éphémère… … … ne resterait alors qu'à traverser ce monde ou les pages d'un livre, les yeux et le cœur grands ouverts.
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Lundi 16 septembre
Margot Fellmann est née à Cressier, celui du canton de Neuchâtel.
Enfant, elle se promène déjà partout avec des livres, avant même de savoir lire.
Grande rêveuse, elle a toujours aimé entendre et conter des histoires.
Son premier ouvrage « L’An 200 du Nouveau Monde » est un roman fantastique, qui traite de la vie des survivants après que la guerre a détruit le monde. Une société dirigée par les Dix, cachés sous des masques protégeant leur anonymat, afin d’assurer la justice. Mais une révolution approche. Les Dix seront-ils en mesure de maintenir la stabilité parmi le peuple ?
Tenez-vous prêts, la suite de la trilogie débarque bientôt !
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Lundi 16 septembre
Copyright photo @Rromir Imami
Depuis toute petite, le quotidien de Jeanne K. Fournier est peuplé de créatures mystiques et de contes merveilleux au point d'en crayonner ses bancs d'école.
Hypersensible et rêveuse, elle se nourrit des univers d'artistes, écrivains et de pop culture.
À l'aube de ses trente ans, un songe trop bref lui donne l'impulsion de prendre elle-même la plume pour y replonger. Son premier roman, Zorya, est né, ainsi que le plaisir de laisser libre cours à son imagination pour créer ses propres histoires.
Depuis sa petite cité médiévale entourée de forêts, elle donne désormais vie à des personnages dont les émotions sont au cœur du récit.
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Lundi 16 septembre
Mère de trois enfants adultes, je me consacre à l’écriture depuis 2009.
Passionnée par les livres, j’aime écrire autant que lire. Je trouve préférable de raconter des histoires plutôt que d’en faire. Je pratique des formes littéraires diverses, passant de la poésie au conte et de la nouvelle au roman, touchant à tous les genres. Une trousse littéraire bien garnie qui me permet d’ajuster le fond à la forme et de révéler plus précisément les multiples facettes de l’être humain. Le plus important étant de transmettre des émotions vraies, de créer du lien et de relier les esprits, car écrire c’est avant tout fabriquer de l’humanité.
Je crois au caractère pédagogique de la création fictive qui permet au lecteur d’expérimenter sans danger la grande aventure humaine en s’identifiant à des personnages qui lui ressemblent et le relie à ses frères humains. Une sorte d’apprentissage de la vie et de sa propre humanité à travers celle de l’autre. L’autre, notre semblable, qui est le miroir de soi et avec lequel on peut partager sa vision du monde et ses émotions, le véritable enjeu de l’écriture.
J’aime à dire que je suis dans toutes mes histoires mais dans aucune en particulier. L’écriture un est puzzle dans lequel se dissimule l’auteur. Encore faut-il avoir toutes les pièces 😉 !
À ce jour j’ai publié vingt et un recueils de poèmes dont « Ex-Slamation » en avril 2024, dix recueils de nouvelles et six romans. Un essai romancé « Révélation » et un recueil de poèmes « La face cachée du monde » paraîtront fin 2024.
Site personnel: https://www.catherine-gaillardsarron.ch/
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Copyright photo @Rromir Imami
Lucienne Girardier Serex, originaire de Rochefort, est née à Bronxville (USA) en 1961. Médiéviste et romancière, elle a publié trois romans et deux recueils de poèmes. Elle vient de faire paraître des nouvelles aux éditions l’Harmattan sous le titre de : Roses trémières. Elle aime travailler en collaboration avec des artistes d’autres disciplines, photographes et musiciens. Elle a tourné des performances de lecture musicale sur des traductions personnelles de Kafka et de Jack London. Elle performe ses propres textes en lecture scénarisée ou sur la musique des Chemins de Traverse. Elle réalise des courts-métrages, comme une artisane. Elle a gagné le second prix du Bibi festival 2019 pour un court en stop-motion. Elle se lance dans la rédaction d’un long métrage. Dans une première vie, elle a travaillé comme ingénieure en construction horlogère. Elle a présidé le Mouvement littéraire Les Lundis des Mots. Elle est actuellement, en tant qu’historienne, co-commissaire d’une exposition sur la Collégiale de Neuchâtel.
Résumé d'une nouvelle du dernier recueil paru: Georgette ou la rose trémière
La petite Georgette est née sur la paille en 1906. Elle vit avec sa mère, concierge, dans le château de Peseux. Pour les êtres libres, la peur est toujours moins forte que la curiosité. Le grenier de la tour, alors plein de mystères et de courants d’air, devient son espace de liberté. A l’heure de la danse et du vin guilleret, elle épouse le garde-forestier qui fait si belles les forêts du Doubs. Elle travaille dans les vignes. Après la guerre, elle s’installe comme couturière, à la Tchaux. Avec elle se tisse l’histoire des « gens de peu » dans le XXe siècle neuchâtelois.
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Spécialité littéraire : poèmes… Ce sont les gens de la foire qui le disent, merci, me voici très honorée. C’était un reproche jadis, presque une accusation de vice caché, quand j’écrivais pour la presse, que je faisais simplement de mon mieux. Puis un artiste aîné & prestigieux m’a enseigné que les beaux titres sont ceux que l’on vous donne, & non ceux que l’on revendique. Donc poèmes, c’est un présent. Cadeau. C’est arrivé sans que j’aie su voulu chercher rythme & son: c’était dedans, sans mérite ni ambition. Libérée de la presse, le seuil fut franchi d’être baptisée par un clan, un maître conteur me fait l’accroche, puis des slameurs divers, d’hivers & dits verts m’adoptent. Beaucoup de lustres m’avaient traversé déjà, je fus sur scène avec un fous z’y tout, Déjà Tard, tenu en l’air dans l’explosion du temps perdu par quelques racines amères, un prince Eugène, une Péronelle, en mâle, en femelle, l’impossible rencontre qui fait des ardents de jadis mon présent d’assez. Voilà, c’est bon, c’est fait, silence, en tâche d’oublier les forfaits. Puis Erika Stump passe par là, jette son œil d’accoucheuse & lance : T’aurais pas oublié les dessins ? J’avais justement un problème avec un code barre qui annonçait la date de péremption de mes synapses dans les couleurs même de celui qui annonçait au survivant Noé qu’Il ne détruirait plus le monde. Collision, confusion, évasion : même en chaos j’y suis. & m’y revoilà.
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dimanche 15 septembre
lundi 16 septembre
Copyright photo @Erika Stump
Suzanne Humbert, une ancienne enseignante locloise devenue philosophe-marcheuse, le projet est passé à la réalité: poussée par le désir de transcender un deuil, elle a noué les lacets en 2018, et traversé seule du Puy-en-Velay aux Pyrénées. Et en 2023, elle est repartie, cette fois jusqu’à Compostelle.
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lundi 16 septembre
Je me demande ce que je pourrais dire me concernant pour que les visiteurs aient envie de venir voir mes livres et de les lire. J'ai enseigné le français et la philosophie à Bienne pendant 35 ans, j'ai été mêlé aux travaux qui ont donné naissance au Plan d'études romand, j'ai formé des adultes à l'usage des outils numériques dans l'enseignement, et il m'arrive encore de le faire, mais pour les introduire à la philosophie.
D'ailleurs, pour des raisons existentielles, j'ai dû réfléchir à la manière dont peuvent s'articuler la foi chrétienne et la philosophie, justement, et comme l'écriture est pour moi un bon moyen pour penser, j'en ai tiré deux livres. Enfin, moitié par défi, moitié par envie de raconter des histoires, je me suis mis à écrire des romans qui marient le polar et le thriller, qui abordent des enjeux sociétaux forts, avec un ancrage résolument local.
Mes livres :
La Poursuite du vent, PBU, Genève, 1990
La Sagesse ou la vie. Le christianisme est-il soluble dans la philosophie ?, AD éditions, Prêles, 2010
Chasseral love, roman, Éditions Mon Village, Saint-Croix, 2019
Le Prix du hasard, roman, Éditions Mon Village, Saint-Croix, 2024
Site personnel (sous forme de blog): https://www.jfjobin.com/
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Lundi 16 septembre
La création d'écritures en tant qu'objet de décoration, la mise en place des mots font partie des mes plaisirs quotidiens, ainsi que travailler à détourner et redonner vie à des objets trouvés au fil de mes balades.
Après 10 ans à fabriquer des masques de carnaval, j'ai lancé ma propre structure de créations diverses.
J'ai commencé en fabriquant divers objets décoratifs autour du thème du Petit Prince. Puis j'ai lancé une série de lampes faites, par exemple, avec du bois extrait de la tempête de 2023 sur les Villes de La Chaux-de-Fonds et du Locle.
Toujours attirée par les mots et par Saint-Exupéry, avec le sentiment que je n'avais pas traité le sujet sous tous les angles qui me plaisent, j'ai décidé de lancer cette série de leporello autour de la Phrase : " un jour, j'ai vu le soleil se coucher 44 fois", que vous pourrez découvrir durant la Foire du Livre au Locle.
mes projets pour la suite ? continuer à jouer avec les mots, proposer des créations originales et vous faire plaisir, au travers de mes envies
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lundi 16 septembre
Fribourgeois, je suis né à Berne, le 08.08.1948. Après la scolarisation primaire dans ma ville natale, j’ai passé cinq ans dans un internat à Fribourg, ville où j’ai acquis, par la suite, une formation de journaliste et de photographe.
Passionné d’écriture, grand rêveur et sensible aux injustices dont est victime une partie de l’humanité, je me suis engagé dans le domaine social, en Suisse, en France et, pendant six ans, en Colombie. Cette expérience a été la source d’inspiration de mon premier roman.
Retraité depuis 2013, amoureux de la nature, je passe des heures à marcher ou à voyager en transports publics, la plupart du temps avec mon appareil photo. Qu’il soit réel ou imaginaire, le monde découvert lors de mes escapades imprègne mes écrits. Chaque rêve peut devenir une histoire.
Mes livres :
Noaluen, la Véragre : Éditions Soleil Blanc, Martigny (roman), 2023
Policarpa, le silence de ceux qui hurlent : réédité aux Éditions Soleil Blanc, Martigny (roman), 2022
Escapades à cœur nu : Éditions Soleil Blanc, Martigny (textes poétiques), 2019
De Cressier à Posat, au gré de l'imaginaire : Éditions à la carte, Sierre (nouvelles), 2013
Le secret de Pacifique Ruffieux : Éditions à la carte, Sierre (roman), 2009
Site personnel: https://www.policarpa.ch/
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Copyright photo @Alain Wicht, La Liberté
Dunia Miralles est une inclassable qui touche à tous les genres. Elle a effectué des études scéniques au cours Florent à Paris et a été la première femme de Suisse romande à écrire dur et trash. A présent elle s’essaye à d’autres styles non par repentir, mais parce qu’elle déteste l’enfermement.
En 2000, les parisiennes éditions Baleine publient le roman Swiss Trash, actuellement considéré comme culte en son genre. En 2002, Ça va paraît dans le recueil collectif Les Affolés. Ce texte est accompagné des nouvelles de Chloé Delaume, Caryl Férey ou Richard Millet. En 2015, le roman Inertie reçoit le Prix Bibliomedia. Il figure également parmi les trois finalistes du Prix Roman des Romands avant d’être nominé pour le Prix de l’Académie romande. En 2023, Dunia Miralles aborde le trouble de la personnalité borderline dans un témoignage poétique Le Baiser d’Anubia, et la maltraitance scolaire avec le roman Le Gouffre du Cafard.
En 2024, grâce à la bourse de l’Association Neuchâteloise pour la Création Littéraire – ANCL – paraît Caravelles du Seyon aux éditions Alphil. Ce récit se penche, avec espoir et allégresse, sur l’immigration espagnole des années 1960 – 1970.
Davantage d’informations et sa bibliographie complète sur son site personnel : www.dunia-miralles.info
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Lundi 16 septembre
Copyright photo @Nathaly P
Né au sortir de la deuxième guerre mondiale, plus précisément le 18 juillet 1946, Jean-Marie Reber passera son enfance entre la Belgique, le Maroc et la Suisse.
C’est dans notre pays qu’il fera ses études, dans un premier temps en droit à Neuchâtel, puis de journalisme à Lausanne.
Tout frais sorti du centre de formation lausannois, il aiguisera sa plume tout d’abord au Nouvelliste puis à l’Express (devenu aujourd’hui ArcInfo).
Le 1er mars 1981, date qui tombe fort à propos, il entame une longue carrière de Chancelier d’Etat de la République et canton de Neuchâtel. Il quittera cette profession au milieu de l’année 2009.
En 2009, justement, il utilisera sa plume, ou son clavier, pour écrire « La vie de château », un traité relatant son expérience de plus de 28 ans au service de l’Etat de Neuchâtel.
S’en suivent divers romans, dont six policiers.
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Copyright photo @Rromir Imami
Philologue classique à la retraite, et active dans la problématique de l’autisme, Martine Roland a l’écriture, la lecture, l’art, la nature et sa protection, la psychologie et la politique internationale comme passions. Ses cinq romans littéraires, publiés à compte d’éditeur, sont des thrillers à forte teneur psychologique, parfois noirs. Deux ont été « remarqués », le premier, « C’est un secret entre nous » par une sélection des Lettres belges en 2017 pour l’envoi à l’étranger dans les pays disposant d’instituts français, et le deuxième, « Novaya Era ou la femme qui perdit deux fois la tête » par un premier prix de la Critique au Salon international de Mazamet en 2018. Le cinquième, « Des amours de soie » a été présélectionné pour la finale d’un concours littéraire en décembre 2024.
C'est un secret entre nous, Éditions Memory, 10 février 2016 – thriller psychologique, noir. Sélectionné par les Lettres belges pour l’envoi à l’étranger, 2017
Novaya Era ou la femme qui perdit deux fois la tête, Éditions Academia, 10 avril 2017, thriller sociopolitique dans les pays baltes, 1er Prix de la Critique au Salon international du Livre de Mazamet (Jury indépendant), 2018
Barnabé, c’est moi ! Éditions Academia, 2018, roman noir, thriller psychologique
Cabine 288, rue Brigal, Le Lys bleu Editions, Paris, 2019, tragicomédie belge à grand suspense
Des Amours de soie, Academia, Collection belge Noirs desseins, octobre 2023, thriller psychologique, noir. (présélectionné pour la finale aux éditions du Frigo, décembre 2024)
Le début du roman a été sélectionné parmi d'autres textes, lors d'un concours d'écriture inter bibliothèques FWB et Grand-Est (France), sur le thème « Passion », (Remise du 1er Prix le samedi 20 mai 2017 à Bièvre) et a été publié dans un recueil « Passions » publié aux Éditions KER, sous le titre Milosz ou la loi de la tégénaire.
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Fils d’immigrés italiens, né à La Chaux-de-Fonds, Aldo Rota a toujours écrit des récits de famille. Il a achevé une formation universitaire d’économiste. Après une longue carrière dans les divers domaines de la finance, il se tourne vers l’enseignement scolaire jusqu’à sa retraite.
Ayant eu beaucoup de succès à sensibiliser ses élèves dans l’exercice de nos précieux droits démocratiques, il décide de raconter l’histoire des courageuses jeunes femmes anglaises luttant pour l’obtention des droits civils à l’ère victorienne. Son roman parle des femmes et s’adresse tout aussi bien aux hommes.
Il affecte de mettre en scène les contours de la nature humaine dans le contexte de la grande Histoire.
Il accompagne aussi les personnes désireuses d’écrire leurs récits de vie.
QUAND LES MARIS SE FERONT UNE OMELETTE (Roman):
Issue d'une famille bourgeoise de la prude Angleterre victorienne du XIXe siècle, Kessy assiste, encore innocemment, au tournant historique de la condition féminine. Le destin va lui faire vivre la frustration de ses pionnières autant que la souffrance de ses besogneuses, mais toutes sont magnifiquement empreintes de résilience. Au centre du kaléidoscope infernal de la société londonienne, son empathie la pousse à agir tant dans les milieux intellectuels que dans ceux des miséreux. Alors, sur quels horizons du XXe siècle l'amour va-t-il encore porter sa vie?
Site personnel : www.aldorota.ch
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Né à Madrid en 1978, David Ruiz Martin, marié et père d’un petit garçon de 5 ans, vit à Cressier, en Suisse. Auteur de plusieurs romans, de thrillers et de nouvelles, il a été lauréat en 2018 du prix Lire et Librinova (Paris) avec Un regard d’avance (nouvelle) et a obtenu le prix littéraire des lectrices du salon Sang pour Sang thriller 2020 de Longperrier (France) avec Seule la haine (Taurnada éditions, 2021). Il a aussi publié Requiem des ombres (Taurnada édition, 2022) ainsi que De racines et de sang (Ramsay, 2022).
Depuis 2023, il a aussi publié 2 « thriller jeunesse » chez Librinova, Daryl et la chambre du destin et Daryl et la forêt des murmures.
En 2024, il publie son 7ème roman, un thriller engagé et inspiré de faits réels, La Toile chez Kubik édition (Paris).
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Né le 25 avril 1967, il fait des études de psychologie (doctorat) et se consacre aujourd'hui à l'écriture sous diverses formes. Il publie principalement des romans et des essais. Il pratique aussi la vulgarisation scientifique et la critique de la culture, et a parfois des activités de dramaturge.
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Je suis née dans le vallon de St-Imier (BE). A dix ans, j'écrivais l'histoire de Tiki, un oiseau blessé que je n'avais pas réussi à sauver. Cet épisode a provoqué à la fois un grand chagrin d'enfant, et une irrésistible envie d'écrire.
Après avoir suivi les cours de dessin à l'école d'art de La Chaux-de-Fonds, j'ai découvert l'aquarelle en Hollande et ai préparé, à Leyde (Hollande) un diplôme en illustration. De retour à Cressier-Neuchâtel avec ma famille depuis 1992, je me consacre à l'écriture et l'illustration d'albums-jeunesse, et expose régulièrement en Suisse romande.
Mes histoires pour enfants sont intimement liées aux événements qui peuplent ma vie. J'ai eu le plaisir d'en publier une vingtaine, parfois en collaboration avec des auteur.e.s de la région. En 2013, j'ai co-réalisé un livre expliquant la vigne aux enfants, écrit par mon voisin vigneron.
Mon album « La journée avec mes petits-enfants » relate les moments partagés par une grand-maman girafe et ses petits-girafons. Cette histoire a été largement inspirée par mon entourage familial.
Actuellement, je consacre du temps à l'écriture d'un roman, ce qui constitue une nouvelle étape dans mon parcours. Récemment, j'ai rejoint le comité de l'AENJ.
Site personnel: www.aquarellealacarte.ch
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Copyright photo @Rromir Imami
Roger Simon-Vermot, dit aussi Simon-Vermot lorsqu’il signe ses romans, est né au Locle (NE) où il a fait un apprentissage de typographe. Très vite intéressé par l’écriture, il devient journaliste, en intégrant notamment les rédactions de l’Illustré et du journal Coopération, avant de créer une agence de presse et publicité. Dans ce cadre, il conçoit différents magazines, devient rédacteur en chef de la revue vaudoise du 700e anniversaire de la Confédération, du Journal du Bicentenaire de la Révolution vaudoise puis rédacteur pour la Suisse romande de l’organe interne d’Expo 01-02. Durant quinze ans, il dirigera le fameux almanach «Le Messager boiteux» tout en collaborant à divers journaux et magazines.
Parmi la douzaine de livres qu’il a publiés jusqu’ici, citons «BDPhiles et Phylactères», une introduction à la bande dessinée, «Horrifiantes histoires du Messager boiteux», «PT de rire», illustré par Mix et Remix, «Illusion d’optique» ou «Putain d’AVC» qui ont obtenu un beau succès de librairie. Tout comme la série de thrillers qu’il a publié aux Editions du Roc à Saint-Imier. Ceci, ajouté à un demi-douzaine d’ouvrages collectifs.
Roger Simon-Vermot est également l’auteur du scénario de «Eden Weiss», la bande dessinée officielle du Sept centième anniversaire de la Confédération suisse et parolier d’«Une autre vie», chanson gagnante de «La Grande Chance», émission concours de la RTSR. Il a également écrit une série de pièces radiophoniques policières sous le titre de «l’Agence Helvétie» diffusées sur les antennes de la Radio romande. C’est là aussi qu’il a animé durant environ un an «Samedi Soir», une séquence d’une heure consacrée au Neuvième Art.
Egalement peintre à ses heures, Roger Simon-Vermot est membre de la Société Suisse des Auteurs et de l’Association des écrivains neuchâtelois et jurassiens. Il se consacre désormais à son oeuvre romanesque.
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Pourquoi l’écriture ?
Le fait de poser des mots, des phrases, des histoires et des rêves sur le papier m’a libéré de divers carcans. D’une part, celui d’une partie importante de ma timidité. D’autre part, celui des frustrations subies, en tant qu'étudiant, par les limites ridicules exigées par l’exercice des « dissertations ». Mon imagination galopante passait mal et débordait largement du cadre absurde qui était imposé.
Du coup, j’ai tenté diverses approches. De 17 à 31 ans, c’est la poésie et ses divers façonnages possibles qui ont rythmé mes écrits. Plus tard, le temps me manquant, je me suis consacré à ma famille et durant plus de vingt ans, c’est la lecture qui a pris le pas. Lire de grands auteurs du passé, comme des auteurs régionaux actuels, m’a fait découvrir l’effet kaléidoscopique et sans frontières de l’écriture.
J’adore manipuler cette langue que je considère comme une des plus romantiques. Alors, à 57 ans, je me lance afin d’assouvir cette envie quasi impérieuse de faire couler l’encre sur une feuille. Et, au final, c’est une romance dictée par une rencontre inattendue qui est publiée sous le titre « Dans les yeux de Jordana ».
Mon rêve d'accoucher d'un roman s'est avéré. Ce qui est encore plus déconcertant, c’est qu’au moment où j’écris ces quelques lignes, je sens que j’y ai vraiment pris goût et mon troisième roman est en route.
Présences:
samedi 14 septembre
dimanche 15 septembre
lundi 16 septembre
Copyright photo @Rromir Imami
Il est né en 1983 à la Brévine. Après des études universitaires, il exerce la profession d'inspecteur de police puis d’enseignant. Il quitte Genève, pour retourner vivre dans son canton d’origine et se consacrer à l’écriture et l’élevage de lapin.
Présences:
samedi 14 septembre
dimanche 15 septembre
lundi 16 septembre
Né en 1950 dans la Jura neuchâtelois. Éducateur de rue durant sa vie professionnelle, ses essais depuis une vingtaine d’années traitent essentiellement de la question identitaire.
Auteur et éditeur, il imprime ses livres auprès des ateliers protégés de la Fondation Alfaset à la Chaux-de-Fonds.
Présences:
samedi 14 septembre
dimanche 15 septembre
lundi 16 septembre